Modératrice ma Modératrice
Date d'inscription : 10/03/2010
| Sujet: Question N°10 et réponse Lun 27 Sep - 11:15 | |
| chères soeurs, voici la question n°10 à notre quizz sur Houd (sur lui la paix) Je vous pose la question vous avez une semaine pour y répondre Ne vous inquiètez pas les votes sont anonymes :) ............................................................................................................ Après avoir rejetté le message de Houd, son avertissement pour orienter son peuple vers Allah , Il décida de les détruirent Comment furent détruit les Aad ?
1 ) Par une pluie qui ne scessa pas pendant plusieurs jours
2 ) Par une forte chaleur provoquant la sécheresse
3 ) Par un vent violent............................................................................................................. Bon quizz, le quizz est une façon ludique d'apprendre!!
Dernière édition par Modératrice ma le Mer 6 Oct - 10:40, édité 1 fois | |
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Modératrice ma Modératrice
Date d'inscription : 10/03/2010
| Sujet: Re: Question N°10 et réponse Mer 6 Oct - 10:39 | |
| La bonne réponse était la N° 3 Pardonnez nous pour cette explication plus longue que d'accoutumé. Il nous reste maintenant à savoir comment ce peuple et cette civilisation, furent anéantis. Les ‘Aad, comme nous le raconte la sourate Foussilat, –ce qui peut être traduit comme : «… s’enflèrent d’orgueil sur terre injustement et dirent : « Qui et plus fort que nous ?’. Quoi ! N’ont-ils pas vu qu’en vérité Allah qui les a créés est plus fort qu’eux ?... » (TSC, Foussilat ‘Les Verstes Détaillés’ :15). C’est une parole qu'ont dite les pharaons, l’empire britannique et les nazis. Où sont-ils tous maintenant ? Les ‘Aad furent détruits sur deux étapes. C’est une histoire qui nous concerne aussi car « …elles [vii](ces pierres) ne sont pas loin des injustes » (TSC, Hoûd : 83). Dans la première étape, c’est un cri qui détruit tous les signes de vie dans la tribu : –ce qui peut être traduit comme : « Le cri, donc, les saisit en toute justice ; puis Nous les rendîmes semblables à des débris emportés par le torrent. Que disparaissent à jamais les injustes ! » (TSC, Al-Mou’minoûn ‘Les Croyants’ : 41). Les ‘Aad méritaient un châtiment avant même qu’ils soient anéantis et c’est pour cette raison qu’ils virent leur terre et rivières asséchées. Puis arriva la deuxième étape : –ce qui peut être traduit comme : « Puis, voyant un nuage se dirigeant vers leur vallées, ils dirent ; « Voici un nuage qui nous apporte de la pluie ». Au contraire ! C’est cela même que vous cherchiez à hâter : C’est un vent qui contient un châtiment douloureux, détruisant tout, par le commandement de son Seigneur ». Puis, le lendemain on ne voyait plus que leurs demeures. Ainsi rétribuons-Nous les gens criminels » (TSC, Al-‘Ahqâf : 24-25). Allah se montre clément envers nous alors que nous croyons qu’Il nous a oubliés. Cette étape est mentionnée également dans une autre sourate : –ce qui peut être traduit comme : « Et quant aux ‘Aad, ils furent détruits par un vent mugissant et furieux qu’[Allah] déchaîna contre eux pendant sept nuits et huit jours consécutifs ; tu voyais alors les gens renversés par terre comme des souches de palmiers évidées. En vois-tu le moindre vestige ? » (TSC, Al-Ahâqqa ‘Celle Qui Montre La Vérité’ : 6-8). Savez pourquoi Il les décrit comme des souches de palmiers évidés ? Parce que le vent les soulevait puis les jetait contre terre et leur brisait les cous et ils devenaient comme des souches de palmiers évidés. Ou encore cette sourate : –ce qui peut être traduit comme : « De même pour les ‘Aad, quand Nous envoyâmes contre eux le vent dévastateur n’épargnant rien sur son passage sans le réduire en poussière. » (TSC, Adh-Dhâriyât ‘Qui Eparpillent’ : 41-42). Et la terre verte fut réduite en poussière jusqu’à nos jours. Mais les signes de la présence de cette civilisation sont restés pour témoigner de cette histoire. Les satellites et des chercheurs américains ont récemment indiqué la présence de colonnes immenses et des traces de rivières sous le désert d’Al-Rob‘ Al-khaly : « Et Nous la laissâmes, comme un signe [d’avertissement]. Y a-t-il quelqu’un pour réfléchir ? » (Al-Qamar ‘La Lune’ : 15). | |
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